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Nicolas Laloum : Joole est une solution pour les diagnostiqueurs

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La semaine dernière, nous faisions part de nos doutes quant aux promesses de diagnostics rapides, fiables et au juste prix de Joole. Nous nous disions aussi prêts à interviewer le créateur de l’entreprise, Nicolas Laloum, s’il répondait à nos questions sans détour. Il nous a immédiatement contactés pour fixer une interview.

DROIT DE RÉPONSE DE NICOLAS LALOUM DE JOOLE

Il y a quelques points que j’aimerais éclaircir avant que vous me posiez des questions. Nous n’avons pas vocation à être contre les diagnostiqueurs ou donneurs de leçons. En lisant votre article, on pourrait croire que nous voulons modifier leurs façons de travailler ou casser les prix. C’est l’inverse. Ce n’est pas parce que j’ai un passé dans la Data Science que le but de l’entreprise est de remplacer les diagnostiqueurs par de l’intelligence artificielle ou de la data. L’entreprise Joole a été créée en ayant discuté avec plus de 200 diagnostiqueurs. La plupart d’entre eux étaient indépendants, certains appartenaient à des réseaux, d’autres étaient salariés.

Nous les avons interrogés sur les problèmes qu’ils pouvaient rencontrer avec certains clients, les articles négatifs dans la presse sur le DPE, les plateformes existantes, etc. À ce moment-là, je n’avais aucune opinion sur le sujet. Toutes mes opinions actuelles sont fondées sur ce que me disent les diagnostiqueurs. Ils m’ont dit qu’il y avait des choses à faire sur la fiabilité des diagnostics, des outils que les indépendants n’avaient pas, des données qu’ils n’avaient pas… À partir de là, on a essayé de construire une solution.

Ces interviews m’ont appris que les problématiques observées de fiabilité des diagnostics ne venaient principalement pas des diagnostiqueurs. Aujourd’hui, on leur demande de faire de plus en plus de choses à un prix de plus en plus bas. Ils doivent trouver des clients, faire de la pédagogie, réaliser leurs diagnostics, écrire les rapports, engager leur responsabilité donc être minutieux, et en plus le marché tire les prix vers le bas. L’équation n’est pas solvable.

Nous avons voulu créer une plateforme combinée à des services pour leur apporter des clients, mais aussi leur faire gagner du temps pour qu’ils puissent se concentrer sur leurs diagnostics, sans tirer les prix vers le bas. Nous avons donc défini des prix avec des diagnostiqueurs. Ils valident des grilles de prix dans leur zone géographique. Bien entendu, on ne les force pas à faire des prestations à ce prix-là. Déjà, ce serait illégal. Ensuite, on n’a pas à leur dire à quel tarif ils doivent travailler.

Quand on a une demande, on propose la mission aux diagnostiqueurs partenaires de la région. Le premier qui souhaite la prendre la prend. Il n’y a aucun engagement. Devenir partenaire est gratuit. Évidemment, en tant que plateforme, on prend une commission, mais c’est transparent. Avant tout, nous avons compris que pour avoir des diagnostics fiables, il fallait donner aux diagnostiqueurs les meilleures conditions pour travailler.

L’UNE DE NOS CRITIQUES PORTAIT SUR LE FAIT QUE VOUS NE CONNAISSIEZ PAS LE MÉTIER. MAIS VOUS AVEZ PARLÉ À DE NOMBREUX DIAGNOSTIQUEURS…

Je n’ai aucunement la prétention de faire des diagnostics, on ne fait pas le même métier. Cependant, ça ne m’empêche pas de me passionner pour le sujet, le challenge technologique, scientifique, physique, et pour les gens avec qui j’échange. Pour parler un peu vulgairement, je m’éclate.

Discuter avec des gens et essayer de proposer des solutions, ça ne me semble pas malsain. Par ailleurs, quand on annonce des diagnostics rapides sur le site, c’est l’obtention du rendez-vous qui est rapide. Quant au « juste prix » il l’est pour toutes les parties : le client, le diagnostiqueur et nous, car il y a une juste commission pour le service qu’on apporte. Cela ne signifie pas « prix cassés ».

LES PRIX DES DIAGNOSTIC SONT DE QUEL ORDRE ?

En région Île-de-France, par exemple, pour un appartement de 3 pièces : 7 diagnostics et ERP offert à 379 € (prix public en vigueur à la date de publication pour un appartement standard de 3 pièces). Il y en a qui vont me dire qu’ils ne veulent pas bosser avec moi, car ils peuvent faire payer encore plus cher et c’est une excellente chose. Mais la plupart des diagnostiqueurs me disent que ça leur va très bien. De toute façon, cette grille sera revue tous les 6 mois en tenant compte des retours. C’est un processus collectif. L’idée est aussi de créer une communauté pour les diagnostiqueurs.

COMMENT FOURNISSEZ-VOUS UNE ASSISTANCE TECHNIQUE AUX DIAGNOSTIQUEURS ?

Tous nos outils et nos solutions pour les diagnostiqueurs se font en plusieurs phases. La première est une phase d’idéation où on fait une version alpha. Autrement dit, on parle avec les diagnostiqueurs de quelque chose, ils nous disent que c’est plutôt une bonne idée et nous, on va investir, développer une solution, et la faire valider par les concernés. On fournit une première version et s’ils nous disent que c’est bien, on la déploie de manière plus large.

Par exemple, au début il n’y avait pas de base de données. On a fait une première version alpha. Tous les diagnostiqueurs qui bossaient avec nous depuis le début pouvaient m’envoyer un mail. Ils m’indiquaient qu’ils allaient à telle adresse faire tel bien. Alors j’allais chercher, dans les différentes bases de données, toutes les infos que je pouvais trouver pour les leur donner. Ensuite, ils me faisaient leurs retours. Comme j’ai eu de bons retours, on a investi là-dedans pour la développer avec une jolie interface. On fonctionnera toujours de cette manière.

Pour l’exemple de l’assistance technique, on a un formateur, qui est avec nous de manière indépendante, et des diagnostiqueurs en test. Ils peuvent nous poser des questions, on reçoit la réponse et on leur transmet. Si ce principe-là s’avère probant, nous aurons quelqu’un en interne pour répondre aux questions. Cela nous permettra d’avoir une base de connaissances. Les diagnostiqueurs pourront se référer à cette base de connaissances ou à quelqu’un en interne.

UNE BASE DE DONNÉES COLLABORATIVE NE FONCTIONNE QUE S’IL Y A BEAUCOUP D’UTILISATEURS, OR C’EST TOUT NOUVEAU…

Vous avez entièrement raison. On ne peut pas fournir une base de données collaborative vide aux utilisateurs. Les gens se demanderont pourquoi fournir de la valeur s’ils n’en reçoivent pas. La base de données a donc été initialisée avec des données plus ou moins fiables. Sur l’application, on précise quelles données sont fiables ou non avec un indice de fiabilité qui va de 1 à 5. Il y a des données qui viennent de l’État et que nous avons consolidées. Il y a des données qui ne sont pas fiables, mais qui servent quand même aux diagnostiqueurs, celles qui proviennent des anciens DPE.

Si tous les anciens DPE disent qu’il y a une chaudière à gaz à condensation de 2015 dans l’immeuble, on ne mettra pas un indice de 5 puisque c’est un ancien DPE.  Cela reste une donnée utile, car si les anciens DPE disent unanimement que c’est une chaudière au fioul, les diagnostiqueurs ne s’en voudront pas trop de mettre la valeur par défaut. En revanche, s’il y a une bonne probabilité pour qu’elle soit toute neuve, ils essaieront vraiment de trouver l’info.

Enfin, quand il a des informations supplémentaires, chaque diagnostiqueur peut laisser un commentaire et une preuve, par exemple une photo. Le prochain diagnostiqueur qui passe dans ce bien verra la photo. Les utilisateurs ont leur login et leur mot de passe. On voit donc les noms des commentateurs et ça dissuade de dire n’importe quoi. Cette base de données est disponible et gratuite. Elle n’existe que depuis deux semaines et une soixantaine de diagnostiqueurs l’utilisent. L’idée, c’est de la perfectionner avec le temps.

POUR L’INSTANT, ON EST D’ACCORD QUE CETTE BASE DE DONNÉES N’EST QUE POUR LE DPE ?

Oui, pour l’instant, ce n’est que pour le DPE. On reste attentifs à ce que l’on pourrait faire de mieux à partir des retours des diagnostiqueurs et de ce qui est légalement et techniquement faisable. Cette application n’est qu’une première étape développée en quelques jours.

QU’EST-CE QUE LA CHARTE QUALITÉ SUIVIE PAR VOS DIAGNOSTIQUEURS PARTENAIRES ?

C’est exactement pareil que pour tout ce que nous développons. Aujourd’hui, c’est une charte rédigée par nous, avec les différents diagnostiqueurs qui nous suivent depuis le tout début. On l’envoie à ceux qui veulent travailler avec nous ou qui commencent à le faire. Vous avez raison sur le fait que cette charte a vocation à être publique. Aujourd’hui, elle se construit encore.

Je dois aussi préciser un point : légalement, une charte de qualité ne décrit pas ce que doivent faire les diagnostiqueurs. Dans cette charte, on leur dit quelles sont nos valeurs, ce qu’on attend, quelle image on veut véhiculer. Cette charte n’est absolument pas liée à nos conditions de vente. Même si on fournit du support et des services, on reste une place de marché qui fait l’intermédiation entre le diagnostiqueur et le vendeur.

VOTRE SITE S’ADRESSE AUX PARTICULIERS ET AUX AUTRES PROFESSIONNELS DE L’IMMOBILIER. QUELS SONT VOS ARGUMENTS POUR EUX ?

Nous avons deux arguments pour les professionnels. Le premier est la disponibilité. Comme nous avons un réseau de partenaires, nous pouvons trouver des diagnostiqueurs assez rapidement. Quand je suis allé voir l’agence immobilière en bas de chez moi, elle m’a dit qu’elle travaillait avec 3 diagnostiqueurs. Parfois, il n’y en avait aucun qui était disponible alors qu’une vente était en train de se faire. Moi, je peux leur dire que des diagnostiqueurs partenaires à Paris, j’en ai 10 et que dans 6 mois, j’en aurais peut-être 50.

Le deuxième argument s’adresse aux professionnels qui sont dans de grosses entreprises ou implantés largement sur le territoire. Beaucoup d’indépendants nous ont dit qu’ils ne pouvaient pas s’adresser à de gros syndics, de gros gestionnaires, etc., parce que seuls, ils sont trop petits. Nous, on se réunit sous une même bannière, avec des valeurs communes et les mêmes grilles de prix par zone géographique, ce qui nous permet d’adresser de plus gros clients. Évidemment, nous souhaitons que notre offre de valeur principale soit celle de la qualité, car c’est le cœur de tout ce que nous essayons de construire.

Pour les particuliers, c’est assez similaire. Notre offre de valeur est de trouver un diagnostiqueur rapidement, à terme – quand on aura un réseau plus étoffé – de trouver un diagnostiqueur n’importe où, et surtout de trouver un diagnostiqueur qui va pouvoir prendre le temps de faire son métier le mieux possible. Notre autre promesse aux particuliers est un accompagnement de la part de Joole. On se charge de tout le côté pédagogique.

On explique au propriétaire le pourquoi du comment des documents à fournir, des diagnostics à réaliser, de son projet, etc. S’il y a des documents que le particulier ne peut pas fournir, nous allons nous-mêmes appeler le syndic pour avoir les infos. De là, nous transmettons au diagnostiqueur une fiche la plus complète possible, pour qu’il puisse faire son diagnostic. En aucun cas nous ne souhaitons se substituer à l’expertise du diagnostiqueur. En revanche, nous souhaitons être bien plus qu’une simple plateforme de mise en relation. Nous souhaitons apporter suffisamment de valeur à nos partenaires pour justifier notre commission, c’est notre obsession.

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10 Commentaires

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  1. F
    F 22 février 2024 - 13h17

    La prostitution existe, les maquereaux à pompes bicolores aussi.
    Qu’il aille monter sa propre entreprise avant de maquer les autres.
    Je n’en dis pas plus par correction.

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  2. L
    Laurent 22 février 2024 - 13h50

    Genre en ce moment une agence qui travaille avec 3 diagnostiqueurs n’en trouve pas un de dispo….mais biensûr….. C’est quoi être dispo? comme un toutou qu’on siffle??? Est-ce qu’il y a urgence au point d’avoir quelqu’un au garde à vous dans l’heure? C’est quoi ces c……..? Trouver un diagnostiqueur rapidement alors qu’une mission se prépare avec un peu de temps. C’est quoi son délire, le Deliveroo du diag, des personnes en stand by dans leur véhicule comme ces livreurs aux conditions de travail déplorables ou ces ambulanciers mexicains quoi attendent stationnés à chaque coins de rue? C’est pas ça ma manière de voir les choses, quand on m’appelle je questionne les gens, je les rassure car si nous on est paumés par ce labyrinthe législatif qu’en est-il de ces personnes qui ne savent même pas si on dit « PED » « DEP » ou « DPE »? sans parler de nombreux agents immobiliers indépendants pour qui le DDT se limite à un DPE clean et surtout pas de problèmes. Franchement on est en plein dans le four à pizza automatique sur le parking du Formule1, il croit révolutionner quoi celui là?? Ok avançons avec notre temps mais ne rendons pas notre métier ingrat, intéressons-nous aux biens que l’on diagnostique et AUSSI aux personnes chez qui l’on se rend. Ces méthodes sont bonnes pour l’élevage intensif (immeubles, syndics, bailleurs sociaux) pas pour les petites fermes, et du coup chacun son taf et sa vision du monde. On n’est pas obligés de se mettre dans le rang que certains veulent nous faire suivre avec des noms débiles….sinon bientôt nous serons des « coachs du bâtiment » avec une petite cravate bleue fluo et un bermuda tout aussi fluo. Sinon pour les infos sur les bâtiments il y un organisme public qui fait ça pas trop mal c’est l’ONB. J’ai rien contre ce monsieur mais j’en veux a cet arrivisme digne des grandes écoles où on leur faire croire qu’ils peuvent devenir des Musk. GRR

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  3. J
    Jean-Claude 22 février 2024 - 14h31

    Pas plus convaincu par cette présente tribune que les précédentes communications où l’humilité n’est clairement pas de mise. Ce monsieur me semble disrupter au détriment des professionnels du secteur qui sont discrédités. Une question me taraude : Comment une société, ayant quelques mois sur le marché, peut se permettre une telle couverture médiatique : les Echos aujourd’hui, hier BFM. Tout cela laisse très songeur.

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  4. R
    Raphaël 22 février 2024 - 14h37

    Et oui toute niche attire les opportunités et comment réagir devant cette exploitation professionnelle déguisée, cela devient maintenant monnaie courante.
    Attention tout de même aux frais induits ( royalties ou autres commissions obligatoires), il faut rappeler que le diagnostiqueur immobilier ne doit avoir aucun lien de nature à porter atteinte à son impartialité et à son indépendance avec le mandataire qui fait appel à lui.

    Encore merci à Cécile pour tous ces articles toujours plus intéressants les uns que les autres.

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  5. L
    Laurent 22 février 2024 - 15h02

    Je pense que cette personne a des liens de parenté avec ces fameux « cabinets de conseil » tels qu’on peut en voir dans les hôpitaux. En même temps il a ses entrées dans les plus « grands » médias, il maîtrise les techniques de communication, c’est son metier. Ces mêmes personnes qui vont vous apprendre à organiser votre travail sans le connaître, et en faisant croire qu’ils le connaissent par ce qu’ils l’ont touché du bout du doigt ou qu’ils ont lu quelques articles sur le sujet. C’est du managment, ni plus ni moins, du Power Point, des fichiers, un temps de travail donné pour telle ou telle mission et son temps de gestion administrative. Il fait semblant d’être concerné par nos soucis mais il s’en cogne, la seule ligne qui l’intéresse c’est la dernière en bas, combien ça coûte et combien ça rapporte. Ils ont fait la même chose à l’hôpital et dans les EHPAD, on voit le résultat. On met de côté l’humain, je vais y aller un peu fort, mais ces personnes gangrènent notre société, ce ne sont que des chiffres qui parlent, de l’optimisation du temps, de l’argent, des impôts, etc.
    Moi je cherche simplement à vivre de mon travail, et pour cela de le faire dans de bonnes conditions, adhérer à un truc qui va me bipper tel un électrochoc pour me dire d’aller au boulot, au bout de tant de refus, tu es mal noté, blacklisté, ça vaut rien dans le temps à par du burnout et une sale maladie avant la retraite. Hier je suis allé chez une dame qui m’a dit qu’elle était hypersensible aux ondes, j’en avait déjà entendu parler, on a échangé sur le sujet, j’ai respecté son problème en coupant mes appareils émetteurs. J’ai fait mon diag et le rapport dans l’après-midi, pas de stress (même si en ce moment c’est compliqué) mais voilà prenons le temps de bien faire notre travail, d’informer les gens, et prenons le temps d’échanger avec nos clients tant qu’on peut encore avoir à faire à eux. L’autre jour on m’a envoyé un « coach » pour la pose d’un poêle à pellets, c’est pas d’un coach dont j’ai besoin (qui a passé son temps sur son écran) c’est d’une personne qui connaît le job et qui SAURA me conseiller. Et même si c’est vrai que l’on passe beaucoup de temps sur la partie administrative, je veux garder ce temps pour être en accord avec mes missions terrains et continuer à savoir de quoi je parle avec mes DO. Le reste c’est que de « l’optimisation », mais de quoi? Le seul combat pour notre metier c’est le prix, un prix juste pour le client, un prix juste pour soi pour ne pas devoir trop en faire mais le faire bien. Plus il y a d’intermédiaire et moins on est payé à la juste valeur de notre travail. Aujourd’hui tout le monde est connecté alors chacun peut trouver ce dont il a besoin (pages jaunes, internet, sites) ces plateformes sont inutiles. Et si on centralise tout, autant revenir à un service public.

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  6. L
    Laurent 22 février 2024 - 15h11

    Et puis j’en rajoute un dernier, on le voit encore aujourd’hui, qu’est-ce qui est la cause de la crise agricole? C’est justement ces plateformes logistiques et financières qui « régulent » au profit des plus gros, les petits sont exclus ou surexploités. D’ailleurs Bruno Le Maire veut les punir mais l’Europe a dit non pas touche. CE SONT LES MEMES PERSONNES! Des profiteurs qui s’engraissent sur le travail des autres sans en apporter la moindre valeur ajoutée.
    S’il vous plaît Quotidiag, ne laissez plus ces personnes prêcher leurs bonnes oeuvres, c’est eux les parasites ou les maquereaux comme dit plus haut.

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    • Cécile, le moteur de Quotidiag 22 février 2024 - 15h16

      Comme nous avions attaqué sa société, il nous semblait normal de le laisser répondre à nos accusations. Cependant, nous avons bien reçu votre message et nous tenons toujours compte, en priorité, des demandes de nos lecteurs et de nos lectrices.

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  7. T
    Thomas 22 février 2024 - 18h17

    7 diags et ERP offerts pour moins de 400 € !!! Le pire c’est qu’ils vont trouver des pigeons pour y aller.
    Les agences ont déjà leurs propre partenaires, ils n’ont pas attendus après eux pour recommander des diagnostiqueurs.
    Une enieme plateforme de prostitution, rien de nouveau …

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    • D
      David 23 février 2024 - 13h52

      Une honte… pas que vous laissiez la parole, mais qu’il ose venir ici nous vomir dessus.
      Bientot faudrais le remercier de venir mettre son nez et surtout son portefeuille dans notre relation client. Encore un vendeur de frigo en antarctique. Le plus triste c’est que certain ODI soit assez minable pour allez signer chez eux…

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Article rédigé par Cécile, le moteur de Quotidiag
Diplômée de philosophie, ex-bibliothécaire, prête-plume et rédactrice web, salariée et indépendante. Écrit quotidiennement des textes sur les diagnostics immobiliers depuis 2016.

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