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Que la force soit avec les diagnostiqueurs !
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Illustration par Malo, le dessinateur de Quotidiag
Illustrateur et animateur 2D, autodidacte et polyvalent, a travaillé en agence avant de se mettre à son compte. Illustre avec humour le secteur du diagnostic immobilier.
Sympa
En opposition au coté clair de la force,
La peur est le chemin du coté obscur,
plus séduisant, plus facile, plus rapide..
La peur mène à la colère,
La colère mène à la haine
La haine mène de à la souffrance..
suivez mon regard…
Je pense en tout cas, qu’il n’y a qu’un ordre constitué de professionnels exerçants qui peut obtenir l’acceptation d’un système de contrôle de la qualité et de la déontologie chez les ODI.
En effet, se voir recaler pour des écarts discutables relevés par des gens dont finalement on ne connait pas vraiment la compétence n’est pas acceptable, seuls des confrères peuvent juger la probité des leurs car ils sont seuls à pouvoir comprendre les contraintes réelles, les vrais difficultés, et de juger au cas par cas et non arbitrairement comme ce système l’engendre. Mais il faudra bien définir les objectifs de cet ordre afin que cela ne deviennent pas encore un mouvement mafieux.
Concrètement, la majorité des odi essaye de faire son boulot du mieux qu’ils le peuvent, bien souvent mal car mal formés, mal informés, mal encadrés, ou devant appliquer des règles parfois inutiles, imparfaites voire contradictoires, bref livrés à eux mêmes.
C’est pour çà que les margoulins en profitent car ils jouent avec les failles.
L’ordre pourra enfin faire bouger les choses car on a bien compris que nos problèmes proviennent de politiques hypocrites (pardon pour le pléonasme) qui ne veulent qu’il n’y ait que nous qui soyons sur la sellette, c’est pour cela qu’ils protègent tous ces agents immo véreux, en ne les impliquant pas, en ne donnant pas les moyens d’informer correctement les consommateurs, et en ne vérifiant pas l’indépendance des ODI qui ne devraient pas être mis en relation par eux, ce qui est accepté tacitement malgré l’existence du décret anti-commissionnement, qui est la cause majeur du bordel que l’on vit depuis la création de ce métier.