Je dirige mon cabinet de diagnostic depuis 5 ans avec mon équipe de 6 personnes. Nous réalisons principalement du diagnostic dans le cadre de ventes et locations immobilières. C’est un beau métier, et j’apprécie le travail avec mon équipe, mais…
insatisfactions des diagnostics à la transaction
Parfois, je dois admettre que j’en ai marre de :
- courir après le particulier pour le moindre document, la plus petite info ;
- entendre toujours les mêmes questions sur le DPE ;
- me plier en quatre pour des agents immobiliers ;
- rencontrer toujours des cas similaires sur le terrain (maisons/appartements) ;
- faire continuellement ces diags identiques, sans reconnaissance ;
- affronter les impayés, envoyer des relances, etc.
Obstacles au développement de mon activité pro
Pourtant, mon métier ne se limite pas qu’au transactionnel. Il y’a bien sûr l’avant travaux/démolition. D’ailleurs, j’en fais moi-même. Mais il me faut déjà 15 minutes pour faire mon devis sur Word, c’est décourageant. Et puis, je pense ne pas pouvoir tenir les délais ni être suffisamment compétitif pour négocier avec les labos. Je manque également de temps pour me consacrer à ces nouvelles opportunités, par exemple :
- les vérifications périodiques GAZ et ELEC ;
- les contrôles des aires de jeux ;
- l’infiltrométrie ;
- les mesures d’air amiante ;
- les sécurités incendie ;
- les registres de sécurité et d’incendie dans les bâtiments…
Bref, toutes sortes de contrôles immobiliers. Ai-je tort de penser que je n’ai pas les outils nécessaires pour élargir mon panel de prestations à des missions orientées pros ?
Pourquoi rivaliser avec les gros groupes ?
Pourquoi ne pas travailler aussi avec les collectivités locales, les régies immobilières, les syndics, les marchands de biens ? Parce que pour le moment c’est la chasse gardée des gros groupes. Ils sont équipés pour répondre aux exigences particulières de chacun de ces clients.
Cependant, comme beaucoup de TPE et de PME, je souffre peut-être d’une forme de complexe d’infériorité par rapport aux grosses sociétés. L’accès à tous ces marchés nécessite de la formation, de l’équipement, des qualifications… À quoi bon y consacrer un tel investissement alors que je n’ai qu’un petit cabinet. C’est David contre Goliath, non ?
En réalité, il est de notoriété publique que ces potentiels clients pourraient faire travailler des structures plus modestes, mais locales. En effet, cette relation plus directe et humaine est appréciée. Par ailleurs, même avec des petits volumes, il est possible de négocier des prix intéressants avec un labo, à condition d’accepter plus de délais et de tenir ses dossiers au cordeau.
Finalement, pourquoi pas moi ?
La difficulté pour nous est de pouvoir répondre comme si nous étions un gros groupe. Comment proposer, a minima, une égalité de services connexes, avec tout un protocole d’accompagnement ? Néanmoins, je pense souvent aux bénéfices que nous pourrions en retirer :
- nous sortir, moi et mon équipe, de la routine actuelle ;
- proposer de l’avancement à mes salariés qui en ont assez de ne faire que du DDT ;
- élargir ma clientèle en restant sur le même secteur géographique;
- découvrir de nouveaux horizons et profils, de nouvelles problématiques ;
- apporter mon conseil en étant davantage écouté, entendu ;
- dialoguer enfin d’égal à égal avec certains clients ;
- asseoir ma trésorerie avec des missions assurément payées…
Bref, je pourrais ressentir le petit frisson que j’avais au début, quand j’ai créé mon cabinet. Ce serait aussi un moyen de proposer à mon équipe de vivre une nouvelle aventure. Alors après tout, finalement, pourquoi pas moi ? Pourquoi pas nous ?
En effet, une solution existe pour gérer ces problématiques : Sogexpert Pro.
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