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Le marché du diagnostic immobilier connait une croissance continue depuis le vote de la loi Carrez de 1996. Cela dans un contexte règlementaire favorable et avec des missions de plus en plus variées confiées aux diagnostiqueurs. Ainsi, nombre de cabinets spécialisés ont vu le jour et composent cette profession devenue filière avec près de 6 000 sociétés actives en 2025.
Ce dynamisme ouvre la voie aux diagnostiqueurs vers deux méthodes de développement d’activité parfois complémentaires, à savoir la création d’une activité ou la reprise d’une société existante.
Création ou reprise d’une entreprise ?
La flexibilité du métier de diagnostiqueur indépendant, les couts limités à l’installation, l’accompagnement éventuel de réseaux de franchises ainsi que les dispositifs fiscaux simplifiés peuvent rendre très attrayante la création d’une activité « depuis zéro ». C’est d’ailleurs ce que nous observons sur le marché avec un nombre d’installation en constante augmentation.
C’est alors que tout commence, la recherche de missions, la construction de son image de marque, le développement d’un réseau de prescripteurs sans oublier la constitution d’une équipe et l’amélioration continue de sa visibilité.
Face à ces premières étapes aussi palpitantes que chronophages, certains professionnels optent plutôt pour la reprise d’une activité existante au moment de leur installation ou de leur développement. Mais si cette option, plus couteuse, a l’avantage de faire gagner un temps considérable, il faut garder à l’esprit quelques points de vigilance.
Reprise d’entreprise de diagnostics : les risques
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